Voyage en Mathématique…
Voyageur au long cours dans un espace complexe
où la part du réel côtoie l’imaginaire
aux frontières non finies, centrées sur la Polaire,
je suis un être virtuel qui mesure le réel…
Ces champs mathématiques souvent mystérieux
pourraient être comme vagues en plein coeur des Bermudes.
Dans ce triangle étrange où beaucoup ont perdu,
en régates assassines, leur Étoile de vue…
sombrant dans l’inconnu d’une variable algébrique
n’ayant de solution que dans le fantastique.
En perdant le compas pour voguer l’océan,
c’est en changeant de cap que je cherche le vent…
d’abord en ligne droite jusqu’à changer de bord…
Balise par bâbord !!!… Mille sabords !!!
C’est ainsi qu’en trois caps je traces ce triangle…
solution pi-radian pour sommer les trois angles
pour enfin revenir à mon point de départ .
Mais, si je tourne en rond
le voyage sera long…
Alors, l’esprit s’évade et imagine ?
J’imagine,
les solutions annexes
d’une algèbre complexe
réelle et imaginaire
cartésienne ou polaire…
J’imagine
que durant tout ce temps, cet espace se forme,
et se métamorphose… se déforme, se transforme…
Espace topologique passant du cercle plan
à celui plus connu
« des poètes disparus »…
Quand, sortant de l’éclipse
son centre dédoublé, le transmute en ellipse,
deux foyers s’éloignant jusques à l’infini
mais toujours dessinant ces phrases paraboles
d’un monde imaginaire,
un ensemble Univers…
Un monde hyperbolique,
aux limites quantiques
sans jamais les atteindre…
Alors ?…
Sur ton Lissajous,
en douceur… je pose ma joue…
Pierre Boumati
Voyageur au long cours dans un espace complexe
où la part du réel côtoie l’imaginaire
aux frontières non finies, centrées sur la Polaire,
je suis un être virtuel qui mesure le réel…
Ces champs mathématiques souvent mystérieux
pourraient être comme vagues en plein coeur des Bermudes.
Dans ce triangle étrange où beaucoup ont perdu,
en régates assassines, leur Étoile de vue…
sombrant dans l’inconnu d’une variable algébrique
n’ayant de solution que dans le fantastique.
En perdant le compas pour voguer l’océan,
c’est en changeant de cap que je cherche le vent…
d’abord en ligne droite jusqu’à changer de bord…
Balise par bâbord !!!… Mille sabords !!!
C’est ainsi qu’en trois caps je traces ce triangle…
solution pi-radian pour sommer les trois angles
pour enfin revenir à mon point de départ .
Mais, si je tourne en rond
le voyage sera long…
Alors, l’esprit s’évade et imagine ?
J’imagine,
les solutions annexes
d’une algèbre complexe
réelle et imaginaire
cartésienne ou polaire…
J’imagine
que durant tout ce temps, cet espace se forme,
et se métamorphose… se déforme, se transforme…
Espace topologique passant du cercle plan
à celui plus connu
« des poètes disparus »…
Quand, sortant de l’éclipse
son centre dédoublé, le transmute en ellipse,
deux foyers s’éloignant jusques à l’infini
mais toujours dessinant ces phrases paraboles
d’un monde imaginaire,
un ensemble Univers…
Un monde hyperbolique,
aux limites quantiques
sans jamais les atteindre…
Alors ?…
Sur ton Lissajous,
en douceur… je pose ma joue…
Pierre Boumati
